Gary est un mari et un père qui a toujours mené une vie très active, que ce soit en faisant du vélo, en jouant au football ou en voyageant. Pourtant, sa routine de vie a failli être interrompue par un caillot de sang dans la jambe. Mais il s’est battu pour ne pas être freiné dans ses activités et il milite aujourd’hui pour sensibiliser et informer sur la thrombose veineuse profonde. Plongez dans son histoire inspirante ci-dessous.*
*Il s’agit d’un témoignage personnel du patient qui ne reflète pas nécessairement les connaissances de JOBST ou l’état actuel de la science. En cas de symptômes, demandez toujours l’avis d’un professionnel de la santé.
Malgré un mode de vie sain, Gary a été pris par surprise lorsqu’on lui a diagnostiqué une thrombose veineuse profonde. Le caillot de sang pouvait s’être développé au cours d’un vol longe distance ou il pouvait y avoir dans sa famille une prédisposition génétique à développer des caillots de sang. Il a refusé de se laisser abattre par cette maladie en obtenant un diagnostic précoce et en appliquant des mesures préventives. Aujourd’hui, il gère son expérience avec assurance, ce qui lui permet de profiter pleinement de la vie avec sa femme et ses enfants. Gary se consacre dans la sensibilisation à la thrombose veineuse afin que d’autres puissent aussi bénéficier d’un diagnostic et d’un traitement précoces.
Si vous reconnaissez des signes et des symptômes similaires à ceux de Gary, consultez un professionnel de la santé afin de mettre en place le traitement adéquat. Pour l’instant, nous disposons d’informations utiles sur les maladies existantes et leur traitement potentiel.
« On m’a diagnostiqué une thrombose veineuse profonde. Il s’agit en fait d’un caillot de sang. Dans cette partie de ma jambe, j’avais un caillot de sang de 22 centimètres dans la veine. Il est évident que si ce caillot se détache, remonte dans la veine et pénètre dans les poumons, ce n’est pas bon. »
« Non. Et les gens devraient être mieux informés sur les caillots sanguins et d’autres troubles veineux. J’aurais pu facilement rester plusieurs semaines sans aller chez un médecin. J’y suis allé uniquement parce que ma femme m’a poussé à me faire examiner. Et si je n’y étais pas allé, les choses auraient pu être pires. »
« Lorsque j’ai été diagnostiqué, ils m’ont prescrit des injections que je devais m’administrer moi-même dans le ventre. Je devais le faire pendant les dix premiers jours. (…) Ensuite, on m’a donné des médicaments par voie orale, qui sont des anticoagulants. Je les ai donc pris. Je pense que cela a duré quatre ou cinq mois. (…) Et je porte des bas de compression. Ils favorisent la récupération. Ils m’aident à gérer la maladie. (…) Et quand je ne les porte pas, je le sens directement. Je ressens un peu de douleur dans les jambes. »
« C’est très chouette de voir la chorégraphie se mettre en place. Je veux dire, la forme d’étoile que vous faites avec vos jambes et d’autres choses comme cela. Quand vous regardez d’en haut, c’est incroyable. Je n’ai pas encore réussi à faire une roulade arrière. J’essaie toujours d’y arriver. »
