Kelley a toujours eu une passion pour la danse, mais à l’âge de 13 ans, elle a remarqué sa première varice visible à l’arrière de la jambe. Les gens faisaient souvent des commentaires à ce sujet, ce qui provoquait chez elle un incroyable sentiment de gêne. Après avoir surmonté de nombreux obstacles, Kelley a finalement fait la paix avec sa maladie. Lisez son histoire ci-dessous.*
*Il s’agit d’un témoignage personnel du patient qui ne reflète pas nécessairement les connaissances de JOBST ou l’état actuel de la science. En cas de symptômes, demandez toujours l’avis d’un professionnel de la santé.
Dans la famille de Kelley, on connaît bien les varices. Les difficultés rencontrées par sa mère avec cette affection ont rendu Kelley plus consciente de ses propres varices, qui sont apparues dès l’âge de 13 ans. En grandissant, Kelley a compris que les critères de beauté sont subjectifs. Enfant, elle adorait nager et c’est quelque chose qu’elle apprécie toujours autant à l’âge adulte. Alors quand on lui a proposé de rejoindre l’équipe de natation artistique JOBST, elle a saisi cette occasion pour prouver que des varices ne l’empêcheraient pas de poursuivre ses rêves.
Si vous reconnaissez des signes et des symptômes similaires à ceux de Kelley, consultez un professionnel de la santé afin de mettre en place le traitement adéquat. Pour l’instant, nous disposons d’informations utiles sur les affections existantes et leur traitement potentiel.
« Rester debout trop longtemps me fait mal. Danser trop longtemps me fait mal. Descendre de l’avion me fait mal. La douleur n’est pas continue, elle va et vient. D’une certaine manière, je me sens privilégiée, (…) car je sais que les jambes de ma mère lui font continuellement mal. Et je m’y prépare aussi car je sais que j’aurai d’autres varices à l’avenir. »
« Quand j’ai fêté le carnaval, j’ai dû appeler une ambulance parce que la douleur était trop lancinante. (…) J’avais peur d’avoir un caillot de sang, car je sais que les varices peuvent provoquer une thrombose veineuse profonde. La varice du compain de mon amie a éclaté et il a dû être transporté d’urgence à l’hôpital. Je ne savais même pas que cela pouvait arriver. (…) Mais ils m’ont dit : "Non, c’est juste que vous n’avez pas mis vos bas. Vous ne vous êtes pas suffisamment hydratée, alors que vous étiez dehors en pleine chaleur." »
« Lorsque vous portez des bas de compression, vous ne ressentez ni la fatigue ni les élancements. Surtout lorsque vous prenez l’avion. Je ne sais pas comment quelqu’un, même s’il n’a aucun problème physique particulier, peut prendre l’avion sans bas de compression. Je ne comprends pas comment on peut ne pas souffrir de gonflements à la descente de l’avion. »
« J’ai le sentiment d’être une gagnante. Je sais que cela paraît bizarre. Vous savez, comme lorsque vous gagnez un concours quand vous êtes enfant. C’est ce que je ressens ! Votre corps est envahi par les endorphines et vous avez réussi à faire de la natation synchronisée, ce qui est d’ailleurs très difficile. Au cas où vous ne le sauriez pas, cela exige beaucoup de force physique. »